Ballonnements, gonflements, intolérances,… Tout d’abord, il y a une réelle différence entre intolérance alimentaire et « sensibilité » alimentaire. On peut être sensible à certains aliments, et moins bien les digérer par exemple.
Tout d’abord, il y a une réelle différence entre intolérance alimentaire et « sensibilité » alimentaire. On peut être sensible à certains aliments, et moins bien les digérer par exemple.
L’allergie, c’est encore différent : c’est une réaction immédiate du système immunitaire.
L’intolérance alimentaire, elle est bien plus handicapante et est diagnostiquée par un spécialiste. L’intolérance la plus connue est celle au gluten : la maladie cœliaque. La maladie Cœliaque c’est une intolérance permanente à une ou plusieurs fractions protéiques du gluten. Elle provoque une atrophie villositaire (destruction des villosités de l’intestin grêle). Il s’ensuit une malabsorption des nutriments, en particulier du fer, du calcium et de l’acide folique…
Les symptômes des personnes souffrants de cette intolérance sont loin de s’arrêter à un simple gonflement du ventre. La maladie s’accompagne parfois de nausées et de vomissements…
La sensibilité au gluten, elle, est plus répandue et peut effectivement provoquer des ballonnements, des gonflements, et être très désagréable.
QUELLES SOLUTIONS ?
Dans les 3 cas, aucun traitement n’est possible.
- La seule solution est de s’abstenir de consommation de gluten.
- Aussi, songez a consulter un médecin afin de faire des examens médiaux pour déceler une éventuelle intolérance et/ou sensibilité alimentaire.
- Surveillez d’autant plus vos étiquettes alimentaires, car le gluten se cache dans beaucoup plus de produits que l’on ne le croit…
- Enfin, l’alimentation sans gluten n’a strictement rien d’obligatoire si vous le supportez bien. Cependant, il peut être intéressant de faire des auto-tests alimentaires en supprimant certains aliments sur un temps donné afin de voir si cela vous apporte des bénéfices, ou pas.
Retrouvez d’autres information en visionnant cette vidéo ici.
Conseil : Pensez aux alternatives, afin de varier un maximum votre alimentation.
6 ALTERNATIVES A LA FARINE DE BLE, SANS GLUTEN
- La farine de sarrasin (blé noir)
Le sarrasin, malgré son second nom, n’a rien à voir avec le blé puisque ce n’est pas une céréale, mais une plante à fleurs dont on consomme les graines.
- La farine de pois chiche
De saveur légèrement sucrée, elle ne s’utilise pas seule, mais elle se marie parfaitement avec la farine de riz par exemple.
- La farine de châtaigne
Elle apporte une note sucrée et est facilement reconnaissable. Elle est assez onéreuse, mais on ne l’utilise également jamais seule pour éviter une saveur trop prononcée, voire amère !
- La farine de coco
Elle apporte une saveur très discrète de noix de coco. Elle est très riche en fibres et absorbe donc beaucoup l’eau. De ce fait, il faut la mélanger à d’autres farines.
- La farine de chanvre
Mélangée à d’autres farines, elle colore les pâtes en vert et apporte une saveur de noisette.
- La farine de soja
Il est préférable de l’utiliser également en la mélangeant, car son goût est assez prononcé et peut déranger les papilles !
Il existe évidemment beaucoup d’autres farines ! Et Il est également astucieux d’utiliser de « fausses » farines comme la farine d’amande par exemple.
Où les trouver ?
Vous pouvez principalement trouver ces farines en magasin bio, mais aussi sur internet. Notamment sur Kazidomi, qui offre un large choix de farines sans gluten !
